Brigitte Taïeb, habitante rue Jean Beausire me communique ces photos. Elle est écœurée. Elle a raison. Elle est verbalisée en permanence. Elle ne peut plus garer son scooter en bas de chez elle. L’espace réservé aux scooters affiche toujours complet. La municipalité sortante a une vraie part de responsabilité. 1) parce qu’en faisant la guerre aux automobilistes, on les a encouragés à vendre leurs voitures et à acheter des scooters. Du coup, leur nombre a explosé à Paris. 2) les espaces réservés aux deux roues ne correspondent plus à la situation. 3) La ville incite à la verbalisation à outrance. Il faut remédier à cette situation par la mise en place d’un système de parking résidentiel, chaque scooter pourrait être doté d’une pastille au couleur de son quartier (avec le nom de « sa » rue ?) et par une certaine tolérance à partir du moment où le scooter n’entrave pas la circulation des piétons. En revanche, il faudrait réfléchir aux scooters, certes garés dans des emplacements réservés mais qui restent des semaines voire des mois sans bouger, cela ne répond pas à l’esprit des « motards parisiens ». Ils veulent bouger, pouvoir se garer et vivre avec le moins de contrainte possible. A l’inverse du Paris de M. Delanoë.