Est-ce un hasard ? Un magnifique arc-en-ciel au dessus du Marais (avec la façade côté cour de l'école de la rue de Moussy). Après la pluie... le beau temps. Le mois de mars est le mois des giboulées ! (Photographies prises en mars 2006). Ces photographies peuvent aussi -très modestement- rappeler à tous de ne pas râter la superbe exposition que l'on peut admirer à l'Hôtel de ville : Paris en couleurs.
Les anges et les angelots ont été un motif fréquent depuis le Moyen-Âge. On peut en voir de nombreux dans des décors plus récents comme ici sur une des portes d'un immeuble du quai de l'Hôtel de Ville. Ce magnifique ouvrage en ferronnerie doit certainement dater du XIXe siècle. Cet article ouvre une série dédiée à Aurélie qui a attiré mon attention sur les nombreux "anges" que l'on trouve un peu partout dans l'arrondissement. Ce sont ces petits détails infiniment nombreux qui, aux côtés des monuments célèbres, font la richesse du patrimoine de notre arrondissement.
La campagne conviviale de Vincent ROGER et de ses co-listiers continue. Hier, jeudi 28 février, dans le hall de l'école Saint-Merri, au programme "La qualité de vie". Deux candidats habitant dans ce quartier, Sandrine LESPERAT et Nicolas RODIER sont intervenus en premier pour évoquer leur sentiment concernant la situation dans le quartier. Puis, Vincent ROGER a pris la parole pour présenter ses propositions relatives à la qualité de la vie dans l'arrondissement. Son intervention a été suivie par des questions de la salle qui montrent que, notamment dans le quartier Saint-Merri, tout n'est pas parfait notamment en ce qui concerne le bruit, le respect des riverains et ...la propreté des rues comme nous l'avons déjà évoqué dans un article précédent consacré à ce quartier.
Quand je suis arrivé dans le 4e arrondissement, le terrain qui longe la rue des Jardins Saint-Paul était un espace laissé à l'abandon et réservé au lycée Charlemagne. Il a été réaménagé (une réalisation faite avant 2001 pour ceux qui croiraient que Paris n'a rien connu de positif avant la mandature actuelle) pour en faire un vrai terrain sportif : un aménagement à ciel ouvert très rare dans le centre de Paris comme on peut le constater sur le site de la mairie. Le panneau du règlement qui figure à côté nous rappelle que malheureusement cet espace sportif n'est ouvert à tous que du 5 juillet au 2 septembre, c'est-à-dire pendant les vacances scolaires.
Cet aménagement a bien mis en valeur la plus grande partie encore debout de l'enceinte construite pour Philippe Auguste à la fin du XIIe siècle. Les murs auprès desquels on peut jouer au basket ont donc plus de 800 ans !!!
Pour développer la pratique du sport, Vincent Roger propose de transformer la caserne Napoléon qui sera libérée en 2009 en un espace consacré pour partie au sport.
Die « Rue des Francs Bourgois » ist eine allseits bekannte Strasse für Liebhaber und Liebhaberinnen des « Shopping ».
Man findet dort erstaunliche Läden, die den Charme der traditionellen Fassaden erhalten haben trotz eines Wechsels der Aktivitäten. Das erlaubt überraschende Schnappschüsse wie zum Beispiel auf diesem Photo , aufgenommen Hausnummer
29 in der Rue des Francs Bourgeois während des Winterschlussverkaufes 2006/2007….
Vincent Roger hat Vorschläge bezüglich des Schliessens dieser Strasse für den Autoverkehr an Sonntagen gemacht. Sie können den entsprechenden Artikel auf seiner Wahlkampf - Webside finden.
Übersetzung : Christiane
La place Baudoyer a été aménagée par le préfet Haussmann. L'endroit ne manque pas d'atouts pour aiguillonner notre curiosité. Outre les magnifiques maisons de la Fabrique-Saint-Gervais, très bien mises en valeur par une restauration réussie, et la mairie du Quatrième, nous pouvons contempler les martiales façades de la Caserne Napoléon, qui borde le côté Ouest de la place.
Construite en 1853, sur l'emplacement de soixante-treize maisons abattues entre 1850 et 1851, elle forme un polygone irrégulier, entre la place Saint-Gervais et les rues François-Miron, de Lobau, et de Rivoli qu'il s'agissait de prolonger. Cela a conduit - on l'a déjà signalé - à raccourcir la rue des Mauvais garçons. Concédé par la Ville de Paris, l'important terrain (0,8 hectares) devait recevoir des logements pour 2 000 soldats.
Pourquoi avoir établi une caserne à cet emplacement? C'est que le souvenir des révolutions de 1830 et 1848 était encore frais, et que le programme d'"assainissement" voulu par Haussmann comprenait, à peine voilé, le dessein d'éviter les débordements révolutionnaires. Volonté de marquer l'empreinte du pouvoir, la caserne Napoléon impose donc son architecture sobre et autoritaire, dans un style néo-classique plutôt discret, si on le compare à d'autres constructions du Second Empire. Ses façades devaient être traitées de manière à s'intégrer dans le paysage urbain, entre l'Hôtel de Ville récemment agrandi, la caserne Lobau (en bord de Seine), et la future mairie du IVe arrondissement. La sculpture est reléguée aux frontons : ne manquez pas d'observer les trophées, composés de boucliers, casques et peaux de lions dans la plus pure tradition antiquisante.
L'ouvrage dirigé par Jean-François PERNOT et Luc THOMASSIN, Le patrimoine militaire de Paris, collection "Action artistique de la Ville de Paris", édition Ville de Paris, vous permettra, si vous le souhaitez, d'en savoir plus sur ce bâtiment et son histoire (pages 165-166). Ainsi, vous pourrez découvrir qu'il était véritablement novateur en son temps, offrant des chambres de quarante-huit lits disposés sur quatre rangées !
En 2009, après plus d'un siècle et demi d'occupation des lieux, la Garde républicaine quittera la caserne. Le maire actuel de Paris souhaite y installer des bureaux pour la Ville. Il a déjà été signalé à plusieurs reprises qu'au contraire, Vincent ROGER souhaite réutiliser cet espace pour en faire un complexe sportif de qualité, et pour créer des logements à loyer intermédiaire (voir un article de décembre 2007). La maire sortante a invoqué que l'espace disponible était trop peu important en raison de la présence d'une cellude de crise. Elle semble ignorer que cet espace représente environ 100 m2 et que le projet de Vincent ROGER ne prévoit pas d'y toucher. Pour en savoir plus, voir un article récent sur le blog de campagne.
Article écrit par Emmanuel et Raphaël
Avishaï dans un article concernant la rue du Renard a déjà parlé des "femmes folieuses". La rue du petit musc, située elle dans le quartier de l'Arsenal, a sans doute connu le même passé puisque son nom est une déformation de "P... y muse" c'est-à-dire "P... y flâne". Cette rue, qui existait déjà en 1358 et qui était située tout près du port Saint-Paul, était un "val d'amour" pour reprendre la surprenante expression de Jacques HILLAIRET, Connaissance du vieux Paris, Edition Princesse, 1956, page 15.
È incontestabilmente un gran successo. Il nuovo spettacolo è particolarmente ammirabile dalla sponda destra (rive droite) del 4e quartiere (arrondissement). Mette in valore il monumento più visitato di Parigi: circa 12 milioni di visitatori l’anno."
Traduzione : Maurizio
Avec Emmanuelle, nous avons rencontré Stephen Graham, "Steve", le patron de "The Auld Alliance", le pub franco-écossais du 80 rue François MIRON. C'est un lieu chaleureux, où sans forcément consommer de l'alcool on trouve une ambiance festive lors des matchs de rugby et de foot, surtout quand les équipes du chardon sont en lisse. Plus généralement, c'est un lieu à recommander pour tous ceux qui veulent rencontrer une partie de la communauté écossaise et plus généralement britannique de Paris. (Très bientôt nous publierons cet article en version anglaise).
1°) Steve explique l'origine du nom "The Auld Alliance".